[Viande] Mieux valoriser ses bovins

Certes, l’offre de viande bovine dans sa globalité est, au moment où nous écrivons ces lignes, abondante, mais elle n’est pas homogène. Pour se positionner sur des créneaux mieux rémunérés, certains éleveurs différencient leurs productions, avec davantage d’herbe, du lin ou des aliments non OGM, en développant la vente directe ou du très haut de gamme…
Se différencier pour ne pas brader
Sur les exploitations laitières aussi, des opportunités existent, à l’image du croisement industriel adopté par de plus en plus d’éleveurs, ou encore les veaux Bretanin apportant une meilleure valorisation au lait. En viande bovine, les marchés sont variés, et rappelons-le, le steak haché occupe une part de plus en plus importante dans les assiettes des Français. Avec des filières plus attentives aux attentes des consommateurs et la remontée des informations, chaque producteur pourra positionner au mieux son produit et sa manière de faire.
Dans ce dossier :
- Finir les réformes : une laitière sur trois abattue maigre
- Qualité de viande : le Label Blond s’allie à Bleu-blanc-cœur
- [Conseils d’élevage] Les ingrédients de la qualité de la viande
- Les jeunes charolais mieux valorisés
- [Stratégie] Le croisement en viande bovine, indispensable
- Génétique et non-OGM pour viser la plus-value du label
- Le veau label valorise son lait
- Une viande de qualité à la table de l’auberge
- La viande de Wagyu, un produit de luxe
- Blonde d’Aquitaine : Plus d’autonomie en finition