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La sélection des gènes du porc

Le monde de la génétique porcine n’échappe pas aux courants dominants. Les fusions se multiplient pour mutualiser les moyens financiers et humains. Choice Genetics est issu d’un regroupement international récent, Topigs Norsvin également. En France, Gene+ et ADN se rapprochent pour se donner les moyens d’exister sur un marché très concurrentiel. Le porc va bénéficier, après d’autres espèces animales, de la sélection génomique qui redistribue les cartes et les gènes.

Dans ce dossier, nous faisons le point sur les objectifs de sélection de différents organismes de sélection. Tous les schémas axent leurs travaux sur la production nombreuse de porcelets lourds et homogènes, suffisamment vifs pour téter la mamelle d’une truie calme et autonome à la mise bas. La prolificité est, en effet, le critère qui explique le plus les écarts de marge dans les élevages conventionnels, comme le démontre une étude réalisée par le groupement porc de Triskalia et présentée dans notre édition du 10 juin dernier. L’indice de consommation (IC) reste un critère fortement ciblé.

Des stations de contrôle des candidats reproducteurs (et non des collatéraux) fonctionnent en vitesse de croisière, équipées de distributeurs automatiques d’aliment (Dac) avec système de pesée intégrée des animaux. Des élevages de sélection s’équipent des mêmes appareils pour connaître l’IC individuel des porcs en salle d’engraissement. Dans les pages suivantes, nous vous proposons de découvrir ces stations et ces élevages. Des experts nous livrent leur vision de la sélection porcine dans un futur proche.

Dans ce dossier :

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