dd8664.hr - Illustration Sécurité sanitaire et confort de travail avec le Lest’o 500
Chantal Bobon (à gauche) et Olivier Balard (au centre) ont choisi le Lest’o 500 pour faire face aux attaques de corbeaux sur leurs silos de maïs sur les conseils de Gilles Jagorel (à droite) de Cultivert.

Sécurité sanitaire et confort de travail avec le Lest’o 500

Le Lest’o 500 protège et sécurise les silos pour une meilleure conservation de l’ensilage. Sa simplicité d’utilisation apporte un confort de travail aux éleveurs, sans pneus ni sable. Le Gaec Normalys et le Gaec Salabert l’ont testé et le déploient de façon progressive sur leur exploitation.

« Le Lest’o 500 s’intègre dans notre stratégie globale de lutte contre le développement des mycotoxines dans le maïs et ses conséquences sur la santé et la production de nos laitières », indique Chantal Bobon, associée au Gaec Normalys à Lieuron (35). L’exploitation fait face depuis plusieurs années à des attaques de corbeaux qui percent les bâches des silos malgré l’utilisation de filets de protection. Ces entrées d’air dans l’ensilage conduisent à une mauvaise conservation du maïs et contribuent au développement de moisissures. La situation sanitaire s’accentue à l’hiver 2020 lorsque le Gaec réalise une mise aux normes de son bâtiment et transforme l’aire paillée en logettes : « Le stress engendré par ce nouvel environnement a rendu les vaches laitières plus fragiles à la présence de mycotoxines dans le fourrage, due aux attaques de corbeaux sur les silos », confie l’éleveuse. Gilles Jagorel, technicien Cultivert, conseille aux associés l’utilisation du Lest’o 500. Il les convie à visiter des exploitations où le produit est utilisé pour faire face aux attaques de corbeaux. « C’est important d’être à l’écoute de ce qu’on nous conseille, mais aussi d’aller voir le produit, comment il est utilisé et comment il vieillit », indique l’agricultrice. Les associés couvrent un premier silo pour le tester. « J’ai conseillé de l’installer sur le silo qui sera ouvert en dernier, où le risque et les conséquences des attaques de corbeaux sont plus élevés », annonce le technicien. Quelques mois après la fermeture du silo, le Lest’o 500 a résolu le problème des corbeaux, bien présents vu les fientes sur la toile et qui ont déjà attaqué les autres silos.

Travailler en sécurité

[caption id=”attachment_55156″ align=”alignright” width=”304″]dd8665.hr Matthias Salabert nettoie, sèche et stocke ses bâches Lest’o 500 avec soin afin de les préserver et viser une rentabilité sur le long terme.[/caption]

Le concept se présente en rouleau de 6 m x 50 m que l’agriculteur déroule dans la largeur du silo et relie à une seconde bande de rouleau à l’aide du scratch Lest’o : il s’adapte parfaitement à la taille du silo. La toile indéchirable est imputrescible, insensible à l’oxydation et antibactérien. Elle protège le film d’ensilage qui agit comme barrière de l’oxygène, premier ennemi d’un silo. Ce film 80 µm Seal Plus apporte une meilleure conservation de l’ensilage grâce au passage de moins de 10 cm3/m2/24 heures d’oxygène tandis que les bâches noires classiques ont une perméabilité d’environ 700 et 800 cm3/m2/24 heures. « Sur mes silos je jette en moyenne une brouette de maïs par semaine. Avec le Lest’o 500 j’ai réduit à une brouette sur 6 mois », confie Matthias Salabert, associé du Gaec Salabert à Tremeur (22). Le Gaec utilisait précédemment 2 bâches d’ensilage, du sable, un filet anti-oiseaux et des bidons remplis d’eau.

« C’était simple à installer, mais compliqué toute l’année pour dégager le front d’attaque », souligne l’éleveur. Désormais, le silo ne requiert qu’un film isolant, le Lest’o 500 réutilisable et une ceinture de boudins où seul le front d’attaque sera manipulé. « Je passe autant de temps à l’installer que le sable, mais le quotidien est bien plus facile et agréable : il ne s’envole pas, je peux le manipuler simplement sans me salir », complète l’agriculteur. Un confort permis par la technique micro-aiguilletée qui le plaque au film et le préserve du vent. L’éleveur gère plus facilement la tâche d’alimentation en autonomie. En 2019, l’éleveur a acheté 2 rouleaux avant d’en racheter 1 en 2020 pour compléter son silo. Composé d’une matière rugueuse, le Lest’o 500 évite de glisser et améliore la sécurité de l’éleveur : « Un atout sécurité indispensable alors que les silos font entre 2 et 4 mètres de haut !  », rappelle Thierry Beurel, commercial Eureden et conseiller auprès du Gaec Salabert.

Une garantie UV 15 ans

À mesure de l’avancée du front d’attaque, l’agriculteur enlève les bandes de Lest’o 500. « Je les nettoie à l’eau et les fais sécher sur un chariot élévateur. Ensuite j’enlève les résidus à l’aide d’un balai, les enroule et les stocke en hauteur sous le hangar avec du raticide à proximité », détaille Matthias Salabert. Garanti UV 15 ans grâce à un traitement anti-UV 1950 KLy, le stockage est la clé pour conserver le produit en bon état. « Correctement stocké, le premier Lest’o 500 en Mayenne a déjà 23 ans et les premiers scratchs Lest’o en Picardie 9 ans », rappelle le commercial Eureden. Satisfait, le Gaec Salabert vise l’achat progressif de rouleaux pour couvrir l’ensemble des silos. « Un hectare de maïs coûte 700 € à produire et on peut facilement perdre plusieurs hectares dans un seul silo. Il est donc essentiel de s’appliquer dans chaque étape de production et conservation et notamment au silo », concluent Chantal Bobon et ses associés du Gaec Normalys.

Contacts Eureden
• Côtes d’Armor & Ille-et-Vilaine : Thierry Beurel, 06 48 10 04 87
• Morbihan & Loire-Atlantique : Gilles Jagorel, 07 85 86 33 86


Tags :
Fermer l'écran superposé de recherche

Rechercher un article