vlh-agri - Illustration Un conseil ouvert et humain pour la transmission

Un conseil ouvert et humain pour la transmission

Acteur indépendant sur le marché des transactions agricoles dans l’Ouest, VLH Agri propose aux cédants une vision élargie du devenir de leur exploitation.

« Aujourd’hui, les transmissions d’exploitations agricoles n’ont plus le même profil. Les cédants ne partent pas forcément pour la retraite, les montants de reprise sont beaucoup plus élevés… », constate Véronique Le Helley, co-fondatrice de VLH Agri. « En agricole, ETA, dans le milieu équin… beaucoup de cédants cherchent une méthode pour trouver un repreneur, valoriser au mieux leur bien. »

Visite des exploitations et écoute des cédants

« Nous leur proposons de les accompagner en mettant d’abord la relation humaine et la communication en avant, en les écoutant… Pour évaluer les exploitations, nous visitons les sites, nous nous attardons sur les potentialités… », ajoute Loïc Louazel, co-fondateur de VLH Agri qui regroupe 11 personnes. L’entreprise a été reprise dernièrement par le groupe Mab Gasnier, promoteur et constructeur en Ille-et-Vilaine. Emmanuel Gasnier est le directeur général. « Les deux structures mettent ainsi en place des synergies. »

« Nous sommes les seuls acteurs indépendants sur le marché des transactions agricoles dans l’Ouest. Cela nous permet d’avoir une vision élargie, de faire appel à un réseau d’experts étendu (techniques, juridiques…) pour le diagnostic des exploitations. Nous prenons en compte de multiples critères comme le parcellaire, la qualité réelle du cheptel… Très souvent, nous accompagnons nos clients auprès des établissements bancaires », souligne Emmanuel Gasnier.

Autre atout de VLH Agri : son fichier d’acquéreurs potentiels constitué de jeunes agriculteurs, de structures céréalières, d’exploitants du Nord, des pays limitrophes tels que la Belgique et les Pays-Bas…

Changement d’activité

« Des structures en vente peuvent correspondre à certains de nos acheteurs pour une activité totalement différente de celle en place. » Les responsables citent l’exemple d’une exploitation en Ille-et-Vilaine où le lait avait été arrêté. Le repreneur y a implanté du lin, acquérant aussi les bâtiments pour son activité, et la maison. « Si les transactions avaient freiné lors de la mise en place de la nouvelle Pac et des DPB (Droits à paiement de base), aujourd’hui, le marché est tonique », souligne Véronique Le Helley.


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