“Nous faisons tout pour rentabiliser l’élevage”

Les associés, Jacques et Isabelle Conan autour de Dominique Durfort, et les agriculteurs de leur groupe technique Cédapa, proposeront des tours d’herbe et des ateliers de réflexion (MAEC, aménagement parcellaire, alimentation…) lors de la porte ouverte. - Illustration “Nous faisons tout pour rentabiliser l’élevage”
Les associés, Jacques et Isabelle Conan autour de Dominique Durfort, et les agriculteurs de leur groupe technique Cédapa, proposeront des tours d’herbe et des ateliers de réflexion (MAEC, aménagement parcellaire, alimentation…) lors de la porte ouverte.

Mardi 28 juin, les associés du [su_tooltip style=”dark” position=”north” title=”Gaec de la Sapinière” content=”3 associés, 166 ha de SAU (avant achat de terre en 2016), dont 133 ha de SFP : 111 ha en prairies ; 32,5 ha en céréales ; 20,5 ha de maïs ; 2 ha en betteraves.”]Gaec de la Sapinière[/su_tooltip] à Bourbriac (22) présenteront leur conduite de l’atelier laitier. Ces dernières années, ils ont mis l’accent sur la valorisation fourragère au détriment des céréales pour gagner en durabilité économique. [caption id=”attachment_20101″ align=”aligncenter” width=”600″] Les associés, Jacques et Isabelle Conan autour de Dominique Durfort, et les agriculteurs de leur groupe technique Cédapa, proposeront des tours d’herbe et des ateliers de réflexion (MAEC, aménagement parcellaire, alimentation…) lors de la porte ouverte.[/caption] « Le déclic ». L’abattage brutal de leurs 166 animaux en 1999 pour cause d’ESB et « l’agressivité » de l’enquête de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) qui a suivi ont laissé des traces dans l’esprit des associés du Gaec de la Sapinière « Là, nous avons décidé d’aller vers davantage d’autonomie au sens large du terme. En travaillant notamment avec des matières premières. Peu à peu, la part de maïs a diminué pour limiter la dépendance au tourteau. » Partant du principe que « l’herbe pâturée est six fois moins chère que le maïs complémenté », le garde-manger du troupeau s’est reporté vers les prairies que les éleveurs ont « réappris » à exploiter. « Cela fait plus de 25 ans que nous faisons de l’ensilage d’herbe. Mais désormais, on fauche plus jeune pour stocker de la qualité. » 5 semaines entre passages des vaches Le cycle de pâturage a été revu en allongeant le temps entre deux exploitations. « Auparavant, nous faisions revenir le troupeau sur un paddock au bout de 3 semaines. Mais, avec l’herbe, il faut savoir attendre….

Cet article est réservé
aux abonnés numériques

Je me connecte

Already a member? Connectez-vous ici

Tags :
Fermer l'écran superposé de recherche

Rechercher un article