- Illustration Une autonomie protéique rentable
Béatrice Dupont et Guillaume Chesneau dans l’atelier pilote construit en 2010 par Valorex.

Une autonomie protéique rentable

« Aujourd’hui, on peut se passer de tourteaux de soja en ruminant, volaille et porc », annonce Valorex qui travaille sur des protéines végétales locales et performantes. « Plusieurs plans protéines ont été mis en place sans succès. Pour réussir, il faut que l’autonomie protéique soit rentable sans subvention », soulignent Stéphane Deleau et Béatrice…

Cet article est réservé
aux abonnés numériques

Je me connecte


Tags :
Fermer l'écran superposé de recherche

Rechercher un article