dossier-mammite - Illustration Mammite : passer du rouge au vert

Mammite : passer du rouge au vert

Deux « m » quand on n’aime pas ! Quelle bizarrerie de la langue française. Pourquoi la mamelle, organe on ne peut plus noble, n’a le droit qu’à un « m » alors que la mal-aimée « mammite » en prend deux ? A moins que cette fantaisie de la langue française vise à insister doublement sur le mal…

Car mal, ça fait. Quatre vaches sur dix sont touchées par une mammite, première pathologie en élevage laitier. Et, à chaque fois qu’une mammite clinique se déclare dans son troupeau, l’éleveur doit consacrer 4 heures de travail supplémentaire pour la soigner. Et comme la prise de tête ne suffit pas, l’éleveur doit aussi ouvrir son porte-monnaie. L’Inra évalue à 230 € l’impact économique total d’une mammite clinique par vache et par an. Cette pathologie se traduisant par une perte de revenu de 30 €/1 000 litres au niveau du troupeau, calcule pour sa part le Cniel. N’en jetez plus…

Pour autant, « il n’y a pas de fatalité », expliquent conseillers spécialisés et vétérinaires que nous avons rencontrés. « Si le problème ne va pas se régler tout seul », il existe des solutions simples et souvent faciles à mettre en œuvre pour maintenir les compteurs en dessous du seuil de 250 000 cellules qui déclenche les pénalités appliquées par les laiteries. Et là, ça fait encore plus mal.

Au sommaire de ce dossier

[su_row][su_column]

+ Vigilance

[tie_list type=”checklist”]

[/tie_list]

+ Bâtiment

[tie_list type=”checklist”]

[/tie_list]

+ Tarissement

[tie_list type=”checklist”]

[/tie_list]

[/su_column][su_column]

+ Des méthodes pour progresser

[tie_list type=”checklist”]

[/tie_list]

+ Prévention

[tie_list type=”checklist”]

[/tie_list]

+ Génétique

[tie_list type=”checklist”]

[/tie_list]

+ Technologie

[tie_list type=”checklist”]

[/tie_list]

[/su_column]

[/su_row]


Fermer l'écran superposé de recherche

Rechercher un article