Le fluide caloriporteur circule dans des tuyaux en plastique (verts). Ce capteur est placé dans une cage grillagée, elle-même en plastique pour éviter toute corrosion. Celle-ci est installée dans la cheminée (fixation simple) où les calories sont récupérées dans l'air chaud extrait. Ces calories sont dirigées via les tuyaux vers le compresseur à l'extérieur de la salle, dans le couloir de circulation. Elles sont ensuite restituées dans la salle grâce aux brasseurs, équipés de petits ventilateurs pour assurer une température homogène. Le système est simple, sans carte électronique. Il s'adapte à tout type de salle. - Illustration Bâtiment porc : un capteur de calories dans la cheminée
Le fluide caloriporteur circule dans des tuyaux en plastique (verts). Ce capteur est placé dans une cage grillagée, elle-même en plastique pour éviter toute corrosion. Celle-ci est installée dans la cheminée (fixation simple) où les calories sont récupérées dans l'air chaud extrait. Ces calories sont dirigées via les tuyaux vers le compresseur à l'extérieur de la salle, dans le couloir de circulation. Elles sont ensuite restituées dans la salle grâce aux brasseurs, équipés de petits ventilateurs pour assurer une température homogène. Le système est simple, sans carte électronique. Il s'adapte à tout type de salle.

Bâtiment porc : un capteur de calories dans la cheminée

Bruno et Mickaël Hélo ont installé des récupérateurs d’énergie, intégralement en plastique, dans les cheminées d’extraction d’air des post-sevrages. Ils louent la simplicité et l’efficacité du système

Trois salles de 200 places de PS sont déjà équipées du nouveau système de récupération de chaleur, au Gaec Hélo, à Cléguer (56), qui fonctionne sur le principe d’un frigo inversé. La quatrième est toujours équipée d’un chauffage par radiants électriques. La différence est nette, selon les éleveurs, en termes de simplicité de travail, d’efficacité et d’économie de chauffage. « Cet hiver, pendant la période la plus froide, il faisait plus de 20°C dans la salle vide, après lavage et désinfection. Elle était chauffée uniquement avec les 1 500 W du compresseur. Les salles équipées des récupérateurs sèchent plus rapidement. Pour ces 4 jours de fonctionnement (vide sanitaire), il faut compter une dizaine d’euros d’électricité par salle », indique Bruno Hélo.

[caption id=”attachment_26628″ align=”aligncenter” width=”680″]Le fluide caloriporteur circule dans des tuyaux en plastique (verts). Ce capteur est placé dans une cage grillagée, elle-même en plastique pour éviter toute corrosion. Celle-ci est installée dans la cheminée (fixation simple) où les calories sont récupérées dans l'air chaud extrait. Ces calories sont dirigées via les tuyaux vers le compresseur à l'extérieur de la salle, dans le couloir de circulation. Elles sont ensuite restituées dans la salle grâce aux brasseurs, équipés de petits ventilateurs pour assurer une température homogène. Le système est simple, sans carte électronique. Il s'adapte à tout type de salle. Le fluide caloriporteur circule dans des tuyaux en plastique (verts). Ce capteur est placé dans une cage grillagée, elle-même en plastique pour éviter toute corrosion. Celle-ci est installée dans la cheminée (fixation simple) où les calories sont récupérées dans l’air chaud extrait. Ces calories sont dirigées via les tuyaux vers le compresseur à l’extérieur de la salle, dans le couloir de circulation. Elles sont ensuite restituées dans la salle grâce aux brasseurs, équipés de petits ventilateurs pour assurer une température homogène. Le système est simple, sans carte électronique. Il s’adapte à tout type de salle.[/caption]

« Le jour du sevrage, les animaux entrent vers 10 h ; à 13 h, il fait 25°C dans la salle (température de consigne à l’entrée). Le régulateur arrête le chauffage. La température est bien homogène dans toute la salle et reste à 25°C  par des températures extérieures proches de zéro ». Le système, pour une salle de 200 porcelets, coûte 7 500 €, posé, raccordé et mis en service. « L’économie annuelle est de 1 500 € d’électricité (par rapport au système radiants). Le système est amorti en 4,5 ans (sans les aides possibles) ». Une porte ouverte, sur invitation, aura lieu à une date restant à définir.

[caption id=”attachment_26627″ align=”aligncenter” width=”680″]Bruno Hélo (à gauche) et Stéphane Richard, installateur, sous l'un des brasseurs. Chaque salle en possède deux, reliés chacun à l'un des capteurs placé dans les cheminées (au second plan). Un simple lavage à l'eau entre deux bandes suffit pour les nettoyer. Les capteurs, dans les cheminées s'autonettoient en mode chauffage (condensation). Bruno Hélo (à gauche) et Stéphane Richard, installateur, sous l’un des brasseurs. Chaque salle en possède deux, reliés chacun à l’un des capteurs placé dans les cheminées (au second plan). Un simple lavage à l’eau entre deux bandes suffit pour les nettoyer. Les capteurs, dans les cheminées s’autonettoient en mode chauffage (condensation).[/caption]

Contact et inscription : Sobrecat au 07 83 22 82 60


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Un commentaire

  1. Moiso

    installation qui parait intéressante , pas trop chère , et permettant de faire des économies d’énergie.
    à suivre pour valider et conforter les propos

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