Princior, une marque pour les éleveurs et les abatteurs

L’équipe technique volaille de chair de Sanders Bretagne aux côtés de Denis et Cathy Baron qui viennent de construire un poulailler neuf de 2 000 m2 dans lequel seront élevés des poulets Princior. - Illustration Princior, une marque pour les éleveurs et les abatteurs
L’équipe technique volaille de chair de Sanders Bretagne aux côtés de Denis et Cathy Baron qui viennent de construire un poulailler neuf de 2 000 m2 dans lequel seront élevés des poulets Princior.

Le poulet lourd Princior est élevé par les aviculteurs du Gaévol depuis 1993. Le logo, qui vient d’être modernisé, n’a pas vocation à être visible pour les consommateurs, c’est une mise en avant du savoir-faire des éleveurs. Depuis 1993, Sanders travaille de concert avec plus de 300 aviculteurs réunis au sein du groupement Gaévol pour l’élevage du poulet lourd destiné à la découpe. « Cette filière nommée Princior a été lancée en 1997. Aujourd’hui, nous voulons recapitaliser sur la marque Princior qui parlait aux anciens éleveurs mais pas forcément à la jeune génération. Le logo a été revu : le poulet bien élevé, indiqué juste en dessous souligné d’un trait bleu-blanc-rouge. C’est une marque qui doit parler aux éleveurs, aux abatteurs et qui n’a pas vocation à être mise en avant dans les GMS », explique Éric Mansuy, responsable technique volaille de chair chez Sanders Bretagne. Le groupement Gaévol, précurseur sur ce type de poulet lourd destiné à la découpe, souhaite se différencier des autres organisations de production et mettre en avant le travail effectué depuis longtemps sur la baisse des taux de pododermatites et la réduction des recours aux antibiotiques. « Ce poulet riche en savoir-faire est élevé dans des poulaillers de dernière génération permettant aux animaux d’exprimer leur potentiel tout en respectant leur bien-être. Nous adaptons le cahier des charges à chaque client que ce soit sur la densité, l’accès à la lumière naturelle ou l’enrichissement du milieu », indique Éric Mansuy. En France, près d’un poulet sur deux est importé. Les Français cherchent de plus en plus à être rassurés sur leurs achats en connaissant l’origine de ce qu’ils consomment et les conditions d’élevage des animaux. « Il est de notre devoir de proposer un poulet français de qualité, compétitif et adapté à la demande des consommateurs…

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