Depuis 4 décennies, les lipides animaux ont été la cible des politiques nutritionnelles occidentales. Pour autant, la consommation de la viande de porc se maintient. « C’est parce que les produits sont bons », assure Gilles Nassy, ingénieur à l’Ifip « à l’exception peut-être de la viande fraîche qui n’est pas assez grasse ». Le gras joue un rôle…

Quelle viande de porc demain ?
Il fallait moins de gras. Les éleveurs, encouragés par une grille de paiement adaptée, ont produit une viande maigre. Aujourd’hui, la qualité technologique des viandes pose question.