14608.hr - Illustration Le salon Mécaélevage le 25 mai en Bretagne
Les membres du bureau et le directeur de la fédération des Cuma de Bretagne.

Le salon Mécaélevage le 25 mai en Bretagne

La dernière édition bretonne de Mécaélevage s’était déroulée en 2016 dans les Côtes d’Armor. Cette année c’est le Morbihan, sur la commune d’Evellys, qui accueillera le salon organisé par la fédération des Cuma.

Le 25 mai se déroulera le salon Mécaélevage sur la commune morbihannaise d’Evellys (à Naizin plsu précisément). « Ce salon fait partie des Mécaévénements organisés par les Cuma tous les ans en France. L’objectif est d’avoir un événement situé dans l’Ouest (Bretagne, Pays de la Loire et Normandie) chaque année. C’est en 2016, à Yffiniac, que s’est déroulé le dernier Mécaélevage en Bretagne », indique Laurent Guernion, vice-président de la fédération des Cuma de Bretagne.

Des démonstrations dynamiques

C’est un salon conçu par les agriculteurs pour les agriculteurs et ouvert à tout le monde agricole. Il se passe en plein champ dans une parcelle de 12 ha avec des démonstrations dans des conditions réelles de travail.
Le comité d’organisation composé de responsables de Cuma définit les différents thèmes qui seront abordés lors des ateliers techniques. « Pour cette édition nous aurons comme principaux thèmes : l’implantation des cultures de printemps, l’agriculture de précision, la valorisation des digestats, l’évolution des systèmes fourragers. Des agriculteurs témoigneront dans chaque atelier. Les démonstrations dynamiques seront l’occasion de voir au travail différents matériels d’épandage de lisier et de fumier ainsi que de semis de cultures de printemps », décrit Thierry Le Corre, président du salon Mécaélevage. Le forum/débat abordera la problématique du réchauffement climatique en donnant des pistes d’adaptation et de réflexion sur les nouvelles cultures à mettre en place pour y faire face. « Le message important que nous allons passer est que la Bretagne a absolument besoin de l’élevage pour conserver un sol en bonne santé », conclut Thierry Le Corre.


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