Edito

Des bras, des têtes

C’était au tout début des années 2000. Un responsable agricole finistérien prenait la parole lors d’une réunion laitière pour alerter ses pairs sur la pénurie de main-d’œuvre qui se profilait dans le métier. Il craignait, disait-il que la production laitière bretonne baisse « faute de bras ». Ses propos ne reçurent aucun écho… Bien au fait de…

Cet article est réservé aux abonnés numériques.
Pour lire la suite…
Connectez-vous ou Abonnez-vous

Peut vous intéresser

Lire aussi...
Fermer
Bouton retour en haut de la page
Fermer