Les associés du Gaec de Kermouster apprécient leur taxi-lait. L’appareil doté de nombreuses options soulage la charge de travail et permet de distribuer une alimentation lactée de qualité. Hors de question pour les associés du Gaec de Kermouster et la famille Riou, de Lanmeur, de revenir en arrière et de se séparer de leur taxi-lait. Présent sur la ferme depuis 3 ans lors de la mise en service du nouveau bâtiment, l’appareil est doté de nombreuses options destinées à réduire la pénibilité de la distribution de lait. « Un pot à lait classique pèse entre 25 et 28 kg », rappelle Sébastien Guiocheau, chargé d’études bâtiments et équipements bovins à la Chambre d’agriculture. La hauteur de la cuve, l’option motorisation ou nettoyage, la conduite de l’élevage… Tout est passé au crible par le responsable, car à chaque élevage son taxi. Santé des veaux Éliane Riou estime que le taxi « est l’assurance d’un travail fait de façon régulière. C’est sécurisant sur les aspects santé des veaux, nous n’avons pas de problèmes sanitaires, peu de frais vétérinaires ». Le lait est maintenu à bonne température avant la distribution, 14 buvées sont réalisées par semaine. Sur l’exploitation, les veaux mâles reçoivent du lait entier, les femelles du lait en poudre. « J’apprécie le brassage intégré à la cuve pour la poudre. Sur de grosses quantités, il est plus difficile d’obtenir un mélange homogène à la main ». Sur le modèle de la ferme, les options sont nombreuses. En plus du maintien en température, le taxi intègre des portes seaux, une télécommande accessible depuis la lance de distribution. « La motorisation est obligatoire dès qu’il y a des pentes », note Sébastien Guiocheau. Pouvant être tiré ou poussé, le chariot dispose de feux d’éclairage, utiles pendant la période hivernale. « Le prix est le principal frein. Mais vu l’utilité de la machine, cela…

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