La valorisation des fourrages doit permettre d’accroître l’autonomie protéique des monogastriques. La recherche va s’intensifier. Par manque de connaissances techniques et économiques, de temps ou de motivation, peu d’éleveurs optimisent la surface enherbée de leur assolement. La nécessité des rotations et les parcours extérieurs offrent pourtant une matière première riche en protéines, à faible coût….

Les truies gestantes pâturent