Intégrer un groupe technique pour progresser

Dd7719.hr - Illustration Intégrer un groupe technique pour progresser
Les rencontres sur le terrain lors d’une visite d’exploitation sont l’occasion de décortiquer les pratiques de chacun sur son élevage.

Le Morbihan totalise 61 groupes techniques locaux. C’est l’occasion d’échanger sur différentes thématiques ou avec des éleveurs de la même production pour continuer de progresser et apporter des idées nouvelles sur son exploitation. « En 2020, la situation sanitaire a fortement ralenti les activités du réseau. Mais nous avons appris à travailler différemment que ce soit en visio, par l’intermédiaire des groupes What’sApp, en rendez-vous par petits groupes et à l’extérieur… Nos groupes d’échange sont nécessaires pour : innover, expérimenter, confronter des avis, partager des idées, oser et faire émerger des projets », résume Philippe Racouet, co-président de Rés’Agri Morbihan, lors de l’assemblée générale qui s’est déroulée en visioconférence le 28 janvier. Le réseau morbihannais compte 6 associations locales, 61 groupes locaux, 1 000 entreprises adhérentes, plus de 2 000 actifs agricoles chefs d’entreprise. Près de 80 responsables professionnels s’investissent pour représenter les dynamiques collectives. 13 groupes techniques lait « Sur le département nous dénombrons 13 groupes techniques lait, 9 groupes techniques allant du bovin viande à la volaille de chair en passant par le lapin, la pondeuse, les chèvres, l’équin ou encore les ovins. Nous avons aussi 13 groupes culture ou arboriculture, 7 groupes thématiques relations humaines, 8 groupes chefs d’entreprise/filières locales/communication, 13 groupes se réunissent autour de différentes thématiques environnementales », décrit Anne-Sophie Jegat, co-présidente de Rés’Agri Morbihan. 24 groupes ont bénéficié d’un finacement public en 2019-2020, les autres groupes ont été animés avec des financements Vivéa et Chambre régionale d’agriculture de Bretagne. Cette dynamique de groupes techniques est réelle puisque plus d’un quart des groupes sont en émergence. Le groupe apporte aussi du soutien Caroline Le Bodic, éleveuse de vaches allaitantes en Blonde d’Aquitaine, participe au groupe jeunes installés. « Le groupe m’a tout d’abord apporté du soutien. Cela permet de progresser techniquement, on ne perd pas de temps lorsque l’on intègre un…

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