“Déclasser l’espèce ou nous indemniser”

L’espèce protégée cause de nombreux dégâts, notamment sur les cultures et sur les balles  d’enrubannage. Le ras-le-bol se fait sentir dans les campagnes. Les agriculteurs de la région de Quimperlé n’en peuvent plus de voir une espèce protégée, en l’occurrence le choucas des tours, coloniser petit à petit les parcelles de cultures. Sitôt semé, l’oiseau…

Cet article est réservé
aux abonnés numériques

Je me connecte


Fermer l'écran superposé de recherche

Rechercher un article