En 2017, Emmanuel Macron avait annoncé la fin du glyphosate. « Au plus tard dans trois ans ». Six mois plus tard, il enterrait sa promesse. Motif invoqué : la France ne souhaite pas interdire seule ce produit, car elle perdrait des parts de marchés. Cette marche-arrière montre que le dossier du glyphosate est éminemment politique. La science…
Un sujet éminemment politique : partie de poker pour le glyphosate
Science ou politique ? L’herbicide controversé joue une partie de bras de fer à Bruxelles.