C’est le premier événement musical de France. C’est une énorme machine qui exige professionnalisme et rigueur. C’est un pari un peu fou que les organisateurs se doivent de remporter chaque année. Le festival des Vieilles Charrues, c’est tout cela à la fois. Et c’est aussi une superbe aventure humaine à laquelle participent chaque année quelque 6 000 « laboureurs ». Des bénévoles qui contribuent au succès de la fête et qui sont également les garants de « l’esprit Charrues », fait de convivialité et de simplicité.
Avec leur programmation éclectique, mélangeant habilement les genres et les générations, les Vieilles Charrues rassemblent et font vibrer à l’unisson toute la Bretagne. Et bien au-delà. En plein mois de juillet, le souffle du Kreiz Breizh fait chaud au cœur. Allez, vivement l’année prochaine ! Car ces braises-là ne sont pas près de s’éteindre.
Pour la première fois, pas de distributeurs automatiques de billets sur la prairie de Kerampuilh. Le festival expérimentait cette année Moneiz, un système de paiement dématérialisé.
La roue tourne mais il est une constante : l’engouement du public pour les Vieilles Charrues.
Soprano, Muse, Tom Jones, David Guetta… Aux Vieilles Charrues, il y en a pour tous les goûts !
Avant même que le Festival n’ouvre ses portes, les organisateurs savaient que cette édition 2015 serait un succès avec 191 000 billets vendus et un équilibre assuré.
Ar Vreudeur Morvan, mar plij !
Partenaire officiel des Vieilles Charrues depuis 2012, le Crédit Mutuel de Bretagne trace fidèlement son sillon de banque territoriale.
Comme chaque année, l’ouverture du festival a été marquée par le traditionnel « tiré de charrue ». Ici, aux côtés de Jean-Pierre Le Tennier, directeur général du Crédit Mutuel de Bretagne, un représentant de la société chinoise Synutra, qui construit actuellement une usine de poudre de lait à Carhaix.