La contractualisation doit rester volontaire

Le ministre de l’Agriculture a annoncé, au Sommet de l’élevage, vouloir avancer sur la contractualisation au sein de la filière allaitante en la rendant obligatoire à l’horizon 2022. La Coordination rurale de Bretagne maintient dans un communiqué du 7 octobre son opposition à la contractualisation obligatoire pour la filière bovine en lui préférant une contractualisation volontaire.« Si les contrats étaient porteurs de prix, les éleveurs iraient d’eux-mêmes vers cette démarche !  » s’indigne Alexandre Armel, responsable de la section Viande de la CR. « L’indexation des hausses et des baisses des coûts de production est une idée louable, à condition que les indicateurs pris en compte correspondent aux coûts de production réels des éleveurs ! », ajoute-t-il. 


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