Les fortes chaleurs des jours passés font mûrir les céréales rapidement, la moisson démarre. La parcelle redevient nue après de longs mois couverte par les blés, orges ou autres triticales. Sitôt la moissonneuse sortie du champ, l’implantation d’un couvert végétal peut s’opérer. Qu’il soit long, court, mellifère, structurant ou enrichissant pour le sol, destiné à piéger les unités d’azote post-récolte ou en prévision de production de fourrage dès cet automne, ce couvert végétal est une force.
Souvent, les solutions les plus simples sont les meilleures. Il en est de même pour les couverts. Semés rapidement, leur développement sera luxuriant pour des résultats à la hauteur des attentes. La biodiversité est fournie par la nature, car les espèces sont nombreuses dans la gamme des couverts végétaux. Vous trouverez dans ce dossier des pistes pour bien choisir vos couverts, suivant ses objectifs et ses stratégies de destruction, mais aussi des témoignages de valorisation en fourrage.
Au sommaire de ce dossier :
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- Un colza fourrager pour plusieurs effets
- Le couvert végétal n’est pas qu’une pompe à azote [su_tooltip style=”light” position=”north” title=”Réservé aux abonnés numériques” content=”Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci.”]
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[/su_tooltip] - Détruire les couverts végétaux sans travailler le sol
- Couverts courts : optimiser l’interculture [su_tooltip style=”light” position=”north” title=”Réservé aux abonnés numériques” content=”Certains articles de ce dossier sont réservés aux abonnés. C’est le cas de celui-ci.”]
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[/su_tooltip] - Les couverts végétaux limitent les phytos
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