concours-charolaise-paris-elevage-breton-genisse - Illustration Deux élevages bretons au concours Charolais de Paris

Deux élevages bretons au concours Charolais de Paris

Olivier Le Moign, éleveur de Charolaises à Corlay (22), est à nouveau monté à Paris pour participer au concours de la race à la Porte de Versailles. Galaxie, sa génisse de deux ans, est tombée dans une section relevée et très disputée. Elle a finalement empoché un 2e prix. L’éleveur, à la fois fier de ce résultat sur le prestigieux ring parisien et quand même déçu d’être passé si près du Graal, se sentait « un peu Poulidor » après une autre seconde place lors de sa dernière participation au Salon en 2009…

Autre satisfaction pour l’EARL, le beau visage affiché par Maxime Decherf de Mûr-de-Bretagne (22) dans l’épreuve de pointage de la race Charolaise. Olivier Le Moign raconte : « Je connais Maxime depuis plus de 18 mois. Fils d’éleveur et étudiant au lycée Kerlebost à Pontivy (56), c’est un stagiaire motivé à qui j’apprécie de transmettre ma passion de la Charolaise, des belles vaches et des concours. » Maxime s’est ainsi classé à la 13e place sur 55 participants lors de ce championnat de jugement. « Après s’être distingué lors du rendez-vous régional qui a validé son ticket pour Paris, 13e, c’est une belle performance face à tous les jeunes qui sont issus pour la plupart du berceau traditionnel de la race. Cela récompense aussi notre travail en Bretagne car depuis trois ans, nous arrivons toujours à placer un participant pour ce rendez-vous de jugement des jeunes. » A la Porte de Versailles, l’autre représentant Charolais de Bretagne, David Jaglin, venait de St-Gilles-Vieux-Marché (22). Il est le naisseur du taureau Far Ouest, détenu en co-propriété avec l’élevage Soulard des Charentes, qui a terminé 3e de sa section à Paris.


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