15381.hr - Illustration Un étudiant rassemble 100 personnes dans une Cuma
Nicolas Fournier devant la nouvelle tonne à lisier.

Un étudiant rassemble 100 personnes dans une Cuma

Dans le cadre de son BTS, Nicolas Fournier a organisé une journée portes ouvertes à la Cuma La Pertiaise, où il est apprenti depuis 2 ans.

Nicolas Fournier est en dernière année de BTS GDEA (Génie des équipements agricoles). En parallèle, il est apprenti à la Cuma La Pertraise, près de Vitré (35), depuis deux ans. Le 24 mars, une porte ouverte a eu lieu dans la structure. « J’ai organisé cette porte ouverte dans le cadre de mon projet de fin de BTS », explique Nicolas Fournier. « Nous devons présenter un sujet lié à la modification ou à la construction d’un matériel, ou à une action de communication. J’ai choisi ce dernier axe et soutiendrai mon travail au mois de juillet. Mon objectif est de montrer les prestations de la Cuma et d’expliquer plus largement notre métier ». À l’occasion de l’évènement, une centaine de visiteurs se sont déplacés. En plus du matériel exposé, les partenaires de la Cuma étaient également présents. « Les concessionnaires et fournisseurs avec lesquels nous travaillons ont accepté de venir », annonce l’étudiant. « Tout s’est calé en environ deux semaines ».

Une nouvelle tonne avec enfouisseur

Depuis un an, la Cuma La Pertraise possède une tonne à lisier Mauguin Citagri avec un enfouisseur à prairie Vredo. « Nous avons fait ce choix pour diversifier nos prestations et pour nous adapter le plus tôt possible aux demandes sociétales et environnementales », raconte Nicolas Fournier. D’une capacité de 18 000 litres, la tonne est équipée avec un enfouisseur à simple disque de 6,5 m de largeur. Malgré un coût moyen de chantier plus élevé qu’avec un pendillard ou une buse palette (environ 3,15 €/ m3), les pertes d’ammoniac par volatilisation sont grandement limitées. En effet, 95 % de l’ammoniac sont valorisés avec ce type d’équipement.


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