Christiane Lambert défend le bilan de la FNSEA

La présidente de la FNSEA était en visite la semaine dernière dans le Morbihan, où elle a rencontré les membres de la liste et des adhérents. Ici avec Frank Guéhénnec, tête de liste, et Thierry Coué. - Illustration Christiane Lambert défend le bilan de la FNSEA
La présidente de la FNSEA était en visite la semaine dernière dans le Morbihan, où elle a rencontré les membres de la liste et des adhérents. Ici avec Frank Guéhénnec, tête de liste, et Thierry Coué.

Invitée à Saint-Jean-Brévelay, sur la ferme de Sophie et Thierry Jounot, Christiane Lambert a défendu le bilan du syndicat majoritaire et rappelé les enjeux des prochaines élections. « Nous avons œuvré pour améliorer le revenu des agriculteurs, pour diminuer les charges et combattu le dénigrement systématique de l’agriculture ». Les efforts portent leurs fruits La présidente de la FNSEA estime que ces efforts portent leurs fruits. « La loi Alimentation commence à produire des résultats. Les centres Leclerc et Danone viennent, par exemple, de signer un contrat intégrant l’évolution des coûts de production des élevages laitiers dans le prix du lait. C’est une conséquence de notre travail au moment des États généraux de l’alimentation qui fixe une sorte de code de la route des relations commerciales et qui aboutit à un meilleur équilibre entre les maillons de la filière ». Toujours sur le sujet du revenu et notamment l’épargne de précaution qui figure dans le prochain projet de loi de Finances : « C’était une mesure attendue, que nous avons défendue. Tout comme d’autres mesures fiscales : la fin programmée de l’exonération des cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers sera finalement reconduite grâce au travail de nos réseaux qui ont su se mobiliser ». Elle se félicite également d’avoir travaillé pour accroître la dotation aux jeunes agriculteurs (DJA). Pesticides Concernant la protection de l’environnement et la baisse de l’utilisation de produits phytosanitaires, Christiane Lambert défend le contrat de solutions proposé par la FNSEA. « C’est une voie de progrès. En aucun cas un contrat de soumission. Nous avons établi des fiches techniques concrètes par production et par région. Nous demandons, en parallèle, une période de transition pour que la recherche trouve des solutions alternatives aux pesticides les plus controversés ». Plusieurs modèles à défendre Les prochaines élections sont, pour elle, un test de représentativité. « Notre objectif est de rester…

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