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Brexit : en volaille de chair, on s’inquiète de “dommages collatéraux”

Dans le bulletin inter-filières volailles de chair paru le 1er février, le délégué général du Cidef (dindes) Yann Brice s’inquiète d’éventuels «dommages collatéraux» que pourrait causer le Brexit sur le marché français de la volaille. «Au-delà d’éventuelles baisses des dépenses de l’UE ou d’une augmentation des contributions des pays membres, le risque principal pour notre filière porte sur la gestion des quotas d’importation et d’exportation». La Grande-Bretagne exporte 220 000 tonnes de volaille vers l’UE, et en importe 430 000 tonnes, dont 250 000 de Pologne et des Pays-Bas. «Que vont faire nos voisins européens de leurs 430 000 tonnes de volailles à destination du Royaume-Uni une fois les frontières fermées? Moins compétitifs, serons-nous une destination de dégagement?»


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