Protocole sanitaire cadré, ration bien calée, luminosité dans le nouveau bâtiment… Les deux associés du Gaec Les 2 G gèrent avec précision l’atelier d’engraissement bovin de 460 places. 50 Blondes d’Aquitaine et la suite sont élevées sur un autre site. En s’installant en 2016 avec son père Patrice, Jimmy Guérin a repris une exploitation à Vignoc (35) et ajouté un atelier naisseur à l’atelier d’engraissement existant. Aujourd’hui, l’élevage de 50 Blondes d’Aquitaine et la suite est réalisé sur le site de Vignoc où la stabulation vaches laitières a été réaménagée. L’engraissement des taurillons, essentiellement des Blonds et des Charolais, se fait à la Mézière (460 places dans plusieurs bâtiments). La SAU totalise 160 ha : 64 ha de maïs, 64 ha de céréales et 32 ha d’herbe. Achat des broutards en libre « Nous engraissons nos mâles et achetons nous-mêmes les autres broutards, souvent en fermes. Je sais comment ils ont été préparés, s’ils ont été vaccinés… Je vaccine en intranasal si besoin et quasiment tous les animaux sont vermifugés avec un produit pour-on », a précisé l’éleveur lors d’une porte ouverte organisée dans le cadre de l’assemblée générale du syndicat blond d’Aquitaine 35, le 4 février. Le nouveau bâtiment d’engraissement de 220 places a été mis en service en 2017. Lumineux et aéré, il dispose d’un couloir central d’alimentation de 6 m de large. Les cases sont bétonnées avec 5,5 m en pente derrière les barres au garrot puis 3 m de plat. Un parc de contention couvert va bientôt être édifié à côté du bâtiment. En 2020, des panneaux photovoltaïques (100 kWh) avaient été installés en lien avec la construction d’un hangar pour le stockage des céréales. [caption id=”attachment_62617″ align=”aligncenter” width=”720″] Un autre bâtiment plus ancien, où le fumier « s’auto-évacue » par le fond des cases. Un raclage est ensuite réalisé dans…

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