L’espèce protégée cause de nombreux dégâts, notamment sur les cultures et sur les balles  d’enrubannage. Le ras-le-bol se fait sentir dans les campagnes. Les agriculteurs de la région de Quimperlé n’en peuvent plus de voir une espèce protégée, en l’occurrence le choucas des tours, coloniser petit à petit les parcelles…

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