
Ce veau mort découvert cet été en Centre-Bretagne porte une signature pour les membres bretons de l’Observatoire du loup, d’autant que des indices supplémentaires ont été relevés sur la zone : empreintes, pistes, hurlements, prédation sur la faune sauvage… « Contrairement au chien qui déchiquette tout, cette découpe quasi chirurgicale de la cage thoracique est caractéristique du loup. » Après une prise d’immobilisation au cuisseau ou à l’aine, la mise à mort se fait souvent au cou et l’écart entre les dents de la morsure permet de confirmer, précisent les pisteurs. « Le loup pose les intestins à côté du cadavre pour manger les viscères rouges (foie, cœur, poumons, reins…) riches en protéines. Il consomme parfois des cuisseaux en dépeçant les membres comme des chaussettes. »
La personne trouvant un animal sauvage ou domestique mort est invitée à le couvrir (une couverture de survie ne coûte presque rien et sa couleur argentée éloigne les charognards) pour travailler sur du « frais » et à contacter l’Office français de la biodiversité (OFB) et l’Observatoire du loup. « Dès que possible, nous venons sur place pour étudier la dépouille », confient les pisteurs qui cherchent ensuite des éléments complémentaires : crottes (« dépôt assez long de 25 à 40 cm en 3 à 5 segments contenant beaucoup de poils et d’éclats d’os, odeur caractéristique de fauves… »), empreintes, relevés de piste – notamment sur la boue – très rectiligne, écoute de nuit…
Contact : Pour signaler un cadavre, envoyer une photo, organiser une conférence : observatoireduloup@gmx.fr
Ce type de tableau necroosique n’est pas IBLIGATOIREMENT pathognominique : en aucun cas ‘la signature du loup . Un charognard “démarrant ” par la zone ‘ ombilicale d’un veau déjà mort avant morsure, apparemment..
J-L Valérie n’est pas la bonne personne ressource concernant cette thématique faisant reciurs a l’expertise ciblée.
Un réseau de Vétérinaires de terrain, professionnels (et “chirurgiens”) , est en place en Breragne et dispose de 1 a 2 relais maf Département , en 22, 29, 35, 44 & 56, dans le cadfe du GTV Bretagne..
Vos sources ne sont mas crédibles. L’OFB et le GTV oui.
Nous pronons le recours à la PCR pour identifier génétiquement (ADN), en termes d’expertise vétérinaire , le radio-tracking et le pigeage photographiqye en vue d’une meklleure connaissancecds cette population Bretonne de moins de 12 individus isolés pour le moment .
Guy JONCIUR, Do teur Veterinaire, membre du CDCFS22 et hinoraire dj GTV,. Mérite Agricole 2021