josera photo 1 pao - Illustration Maladies respiratoires chez les veaux: les points de vigilance !

Maladies respiratoires chez les veaux: les points de vigilance !

Publireportage

Article écrit/proposé par JOSERA

Les maladies respiratoires telles que la toux ou la pneumonie sont fréquentes en hiver. Cela se traduit par une baisse du GMQ, des dépenses supplémentaires et une période d’élevage plus longue. Il faut donc essayer de réduire au maximum le risque de maladie dans les enclos des veaux.
Voici tous les conseils et informations utiles sur les maladies respiratoires des veaux.

 

Sommaire
  • Origines et conséquences des maladies respiratoires infectieuses chez les veaux
  • Immunisation passive et active : quelles différences ?
  • Comment pouvez-vous agir en prophylaxie contre les maladies respiratoires ?
  • Mémo

Origines et conséquences des maladies respiratoires chez les veaux

Il existe deux différents types d’infection dans les maladies respiratoires. Les infections virales et les infections bactériennes.

Infections virales :
  • Infection par BRSV
  • Parainfluenza
  • Diarrhée virale bovine (BVD)
  • Infection liée au corona virus
  • Infection liée au rhinovirus

Généralement, les infections virales se propagent par les gouttelettes d’eau dans l’air. Les conditions climatiques à l’extérieur et à l’intérieur de la stabulation sont donc très importantes pendant une épidémie. Le virus BRSV est le plus important parmi les infections virales.
Comme les virus ne réagissent pas aux antibiotiques, la prophylaxie est le meilleur moyen pour les combattre.

Infections bactériennes :
  • Infections par Pasteurella
  • Bronchopneumonie
  • Infections causée par salmonella
  • Tuberculose

Les mesures préventives de vaccination ont déjà fait leurs preuves. Il faut distinguer l’immunisation passive de l’immunisation active.
Les maladies respiratoires infectieuses impactent négativement le bien-être des veaux et la rentabilité de l’exploitation. Bien souvent, maîtriser les problèmes par des mesures thérapeutiques ne suffit pas. Il faut principalement prendre en considération l’ensemble des facteurs en relation avec l’élevage tels que la stabilité du climat, l’approvisionnement et l’hygiène pour réussir l’élevage des veaux.

Immunisation passive et active : quelles différences ?

L’immunisation passive indique que les anticorps déjà formés sont transférés au veau par voie orale ou parentérale. Elle est aussi envisageable par une administration intramusculaire. Une immunisation passive peut s’effectuer naturellement par l’apport rapide et suffisant de colostrum.

JOSERA Colostrin est un additif de buvée qui renforce les défenses naturelles de vos veaux et améliore l’efficacité du colostrum.

De plus, un aliment d’allaitement contenant des immunoglobulines destinées à lutter contre certains agents pathogènes, tel que JOSERA IgluVital, peut être utilisé afin de fournir aux veaux des soins essentiels dans les semaines suivant la naissance.

L’immunisation active signifie la production active d’anticorps par le veau lui-même suite à sa vaccination avec un vaccin inactivé ou un vaccin vivants atténué. En général, les vaccins vivants atténués affichent les meilleurs résultats.
Toutefois, seuls les animaux en bonne santé pouvant présenter une forme atténuée de la maladie avec de la fièvre ou une perte d’appétit après la vaccination peuvent être vaccinés. Cette vaccination a un effet tardif contre les agents pathogènes, mais elle est aussi plus durable.

Comment pouvez-vous agir en prophylaxie contre les maladies respiratoires ?

Aussi bien pour la prophylaxie des maladies respiratoires que pour la prévention des diarrhées, deux actions essentielles doivent être menées :

  • Renforcer le système immunitaire du veau face aux maladies infectieuses et non infectieuses, par exemple avec une bonne gestion de la ration des vaches taries et en prenant des précautions à la naissance et pendant l’ingestion du colostrum.
  • La réduction des possibles sources d’infection grâce à de bonnes conditions d’élevage. Ainsi, il faut bien veiller à ce que la litière soit sèche, de nettoyer les logettes régulièrement pour diminuer la teneur en ammoniac et d’éviter les courants d’air.

josera photo 2 pao

Lisez nos conseils et astuces pour une hygiène optimale du bâtiment destiné aux veaux

Mémo

Un GMQ évite des dépenses supplémentaires, la prolongation de la période d’élevage, l’augmentation du risque d’élimination, un âge supérieur au premier vêlage et une production de lait plus tardive. Toutes ces raisons devraient nous inciter à tout faire pour éviter les maladies respiratoires des veaux. En cas d’infection, il faut prévoir une action immédiate et sans compromis.


Fermer l'écran superposé de recherche

Rechercher un article